L’illusion devient réalité. Demande et tu auras.

Demande et tu auras.

Bonjour à toi. J’espère que mon poème (plus bas) te rencontrera avec un joli sourire illuminant ton visage. Lorsque tu liras ces lignes, sache que je m’apprête à sauter dans le grand vide. Le plus immense et effrayant que j’ai pu rencontrer sur mon chemin.
Mes rêves sont sur le point de devenir réalités.
Toutes ces heures à les dessiner dans mes pensées, à espérer impatiente le jour où je pourrai narguer toutes les idées et croyances limitantes qui ont virevolté autour de moi pour me convaincre que jamais je n’y arriverai.
Ces peurs sont là plus présentes que jamais. Elles hurlent du soir au matin, la nuit me réveillant parfois. Non je mens, elles me réveillent tout le temps. L’oeil à peine ouvert, je prends plaisir à la mettre dans la poubelle en leur souhaitant bonne route. La journée, elles me frappent la tête comme pour la rabaisser. Que je regarde le sol et me limite, au lieu du ciel. Elles pensent m’empêcher de voler mais elles ont tort. Elles m’épuisent, elles me soulent mais elles ne gagneront jamais. Car lorsqu’il y en a des centaines de ces idées tristes et fausses, mon coeur lui crée des milliers de visions magiques de mon illusion bien réelle. Je pense, je vois, je vis. Et les faits sont bien ici.
Il est venu le moment d’y croire et de savoir, avec certitude, que ce qui est fait pour nous, viendra à nous. Que ce qui occupe nos songes tout doux méritent de faire partie de ce qu’on vit, chaque heure et chaque jour. Je saute à vos côtés alors que je dessine mon chemin vers tout ce dont j’ai toujours rêvé.
Ce poème plus bas, c’est ma façon de visualiser. De demander à l’univers, la vie, D.eu, de m’accompagner car je suis prête. Hate de vous retrouver de l’autre côté du vide, bien heureux.
A toi, la vie.

Parfois, je t’imagine facile et simple.

Je me leve, l’esprit clair et limpide d’ennuis.
Je te souris comme lorsque nous étions petits.
J’accueille de joie tes miracles de leur douceur humble.

Me guide l’envie de déjeuner avant d’aller me baigner.

Quel maillot porter ? Ne pas oublier pas de me protéger.
La creme dans le sac salue mes livres, crayons et cahiers,
Je suis dans la voiture qui me berce vers mon rêve eveillé.

Coucou la mer ! Zéro doute, chez moi c’est être à tes cotés.

Plouf ! Je n’ai peur de rien. Je ne regrette point mes choix.
Mouillée, j’ai été souvent critiquée. Je restais sure de moi.
Renoncer aux cadres, règles, devoirs et à la dupe sécurité.

J’ai sauté dans le vide, le sourire dans les yeux de ma vie.

Dans mon coeur jouent à présent mes bonheurs d’enfants.
Je n’ai plus à compter les sous, heures et erreurs d’antan.
Les temps dansent loin de ma délivrance. Et moi, je ris.