Plénitude quand tu me tiens,
Je suis bien, je vais bien.
L’air est pur, le ciel dégagé,
Je vois le chemin du ciel qui se dandine.

Les oiseaux chantent avec moi,
Le vent fait danser les plantes
de mon jardin parisien.
J’attends un lendemain certain.
Un voyage à mille lieux,
je vois la vie de mes rêves d’enfants. Il est temps. Enfin.
Un lieu lointain mais si proche de mon cœur,
Lorsque j’y songe, je suis bien, je vais bien.
Ma main dans la sienne,
je regarde nos enfants rirent de bons cœurs.
Au bord de l’eau, ils chahutent entre vagues,
bonnets et châteaux de sable.
Je les regarde et de ma main libre,
je trace au crayon les mots que je respire.
Libres, ils racontent le bonheur de cet instant.
Ils se mêleront à des notes joyeuses et partageront ainsi l’amour.
Je veux de ces journées, une éternité de souvenirs.
Un goût de sérénité hilare me rassasie.
Je contemple l’œuvre d’un temps surréaliste.
Mon cœur est serein.
Un matin, bientôt nous serons là.
Et d’ici là, je cueille le bonheur de ces pensées
qui inondent de lumière mes yeux ouverts ou fermés.